Pourquoi boycotter l'agrément ARJEL (ANJ) ?

L’inefficacité de l’ARJEL (ANJ)

Une fois enlevés les standardistes, secrétaires et autres, il ne reste pas une dizaine d'agents aptes à réguler les quelques 9 milliards d'euros qui circulent chaque année en ligne, uniquement sur le territoire français, car l'ARJEL (ANJ) est impotente sur tous les secteurs étrangers. Elle ne peut donc pas faire grand-chose pour vous aider si vous êtes en conflit avec une société de jeux française, et baissera immédiatement les armes si la menace venait de l'extérieur : elle l'affirme elle-même, cela n'est pas son travail, ce qui est d’ailleurs l’un des gros inconvénients de l’ARJEL (ANJ).

De nombreux jeux ne sont pas compris dans l’agrément ARJEL (ANJ), par manque de moyens selon son président. Les machines à sous, notamment, sont les premières victimes de cette organisation. Mais même dans les domaines autorisés, l'ARJEL (ANJ) ne contrôle qu'une toute petite partie du secteur : 11% à peine en 2018, ce qui représente une excellente raison de jouer Hors ARJEL (ANJ).

De plus, il juge lui-même une fiscalité « lourde et anti-économique », ce qui signifie, en termes plus clairs, que l'agrément coûte cher, à la structure de l'ARJEL (ANJ), qui ponctionne chaque année près de 10 millions d'euros de l'argent public (payé par les impôts des contribuables) et ce, dans le seul but d'être reversé à ces bookmakers qui font déjà énormément d'argent grâce à une niche très lucrative, uniquement pour les motiver à rester sur le marché français malgré la législation et empêcher les joueurs français de parier à l’étranger.

Cette somme est donc supposée leur servir en frais de fonctionnement pour la création de sites miroirs, qui sont en tous points identiques aux serveurs normaux, mais qui n'acceptent que les français. C'est tout bonnement de la ségrégation « positive » à l'égard des joueurs français, avec l'excuse ancestrale de la sécurité, alors que dans d’autres pays hors ARJEL (ANJ), cela ne s’applique pas.

Un système qui diminue les gains

En jouant avec des bookmakers qui bénéficient de l'agrément ARJEL (ANJ), vous contribuez non seulement à justifier un système qui augmente vos impôts sans utilité réelle, mais en plus, vous diminuez vos gains de moitié, en subissant des cotes très basses dues au petit nombre de joueurs présents chez ces bookmakers (évidemment, le marché français est infime comparé au marché mondial), tout en subissant des taxes de l'état sur vos gains.

Extrait du rapport d'activité 2018, page 13

De plus, étant donné que la plupart des bookmakers agréés proposent un serveur strictement identique au serveur mondial, vous ne bénéficiez pas d'une protection plus importante que celle que le bookmaker fournit déjà à l'origine. Plus un bookmaker est célèbre, plus il défend son image pour attirer à lui toujours plus de joueurs. Des groupes comme Winamax par exemple, ne prendront pas le risque de tolérer des fraudes sur leur serveur, ARJEL (ANJ) ou pas. Vous pouvez donc contourner l’ARJEL (ANJ) et foncer les yeux fermés, vous serez en sécurité.